Déménage
ce remblai
Et
rembourre ce vieux fauteuil
Tant
que tu y es
D’une
pierre deux coups,
Tu
gagnes au change
Penses-y
avant d’agir
Si
c’est pas trop te demander
C’est
pour toi que je le dis
De
toute(s) manière(s)
Ticket
de caisse orange
Pourquoi
pas rose bonbon ?
Tant
qu’à déconner
Allons-y
à fond
Croque
la carote,
Jeannot
la Pine
Tu
manges du massepain ?
Non,
je me masse le pain
Après cette
mise en jambes, deux poèmes destinés à vous, qui m’attendiez au tournant...
Qui
suis-je ?
Personne,
pourquoi ? Mais
Toi
non plus, sache le
Et
tiens le toi pour dis
Y’a
du grand Mr.E$$
Y’a
vraiment du grand
Et
c’est pas fini
Rentrée
outrage
Pensées
scandales
PPPas
de PPPolitiques
DouBBBle
en Fo-fo-FFForce
Pute
!
Dénoyaute
l’olive
Avant
de désosser le gigot
Mon
salaud
70°
C’est
ça l’abcynthe
Prend-toi
ça dans la tronche
Après,
tu nous raconteras tes exploits
Si
tu t’en rappelles encore
Primate
à lunettes grisonnant
Chemise
à carreaux
Et
haleine de lama
Te
te crois beau
Tu
ne l’es pas
Ta
gueule maintenant
Ohé
du bouffon
Oui,
je te juge
Et
oui, je t’emmerde
Putain
de bouffeur de mayonnaise
Filoux
de philanthropes (les faux),
Gare
aux misanthropes (les vrais)
Un
conseil
T’es
arrivé à un point où
Ça
commence à craindre vilainement
Que
faire, te demandes-tu ?
Réfugie-toi
dans les paradis artificiels
Comme
tant d’autres
Mais
après, ça n’ira pas mieux
Malheureusement.
Prend
donc la diligence qui
Passe
par le grand canyon
Tu
te feras scalpé puis égorgé
Et
tous tes problèmes
Ne
seront plus
Qu’un
lointain souvenir
Taxi,
au centre !
De
la terre ?
Ptit
comique va, joue pas au mariolle ou ta carte de séjour va voler aux
égoûts !
Pardon
monsieur le ministre, pardon
J’aime
mieux ça, macaque
Collabore
Ça
corrobore
Ce
que je pensais
A
ton propos
Double
face
L’erreur
est humaine
Mais
pas seulement, par exemple :
Le
chat du voisin
Est
venu me faire chier
Et
il a morflé,
Fallait
pas petit chat.
L’erreur
est humaine
Mais
pas seulement, ha !
Songe
donc au froid de ta Sibérie natale
Avant
de faire ta chaudasse
Ma
belle Olga
Ex-frigide
vas
Vous
faites chier tous
Pas
de répit
No
rest
for
the wicked
Pulse
et Pousse
De
façon méthodique
Ponds
donc l’oeuf
Pou-poule !
Le
corridor sombre,
Allée
verte
Il
dort ce con,
Allez
merde
Kolkoz ultime (IV)
Le
col cause
Le
vert ?
Non,
lui il couine, l’autre cause
Ce
fidjer
Ça
fait des années que je n’ai
Plus
mangé de pistolet
Navré,
mes amis Français
Vous
ne savez guère à quoi
Je
fais illusion
Ou
allusion
Pourquoi
tu ne souris pas ?
Pourquoi
le ferais-je ?
Question
à question, c’est bien, le schmilblik avance
Hein ?
Beh
oui.
Vodka ZK (apotheosis)
Friskaia
Troika
Zaranoff
Borokoff
Wiborowna
Stolichnaya
Smirnoff
Eristoff
Moskovskaia
Voilà
ce qui ce boit
Pour
les KZK, qui l’eut crû ?
C’est
comme ça, dans l’Absolut
Et quoi, et Havana Club
alors ?
Et
dans tout ça, le Rhum ?
A
Rome
T’en es
où toi, dans la vie ?
C’est-à-dire ?
Laisse
tomber
Dans
l’ensemble, ça craint
Ce temps
Cette
vie
Et en
plus
Il
marche pas,
Cet
Alca-Seltzer
Il avait
sans doutes raison
Cet
homme-là
Ce n’est
pas la misère qui manque,
C’est la
misère qui manqu’ule.
Matraque
ton ego
Putain
les ruines
Obscures
et tordues
Il ne
restait donc plus rien
...engeance,
engeance...
Le monde
est ce qu’il est
Et
voilà, ça changera jamais
Voilà, avant
d’entamer une partie plus privée, et comme son nom l’indique, assez joyeuse,
deux petits poèmes encore pour ceux qui veulent m’enterrer, pas que je
m’intéresse à vous, mais vu que je me prends pour une star ou un tsar, je fais
celui qui n’en a rien à foutre tout en en ayant quelque chose à foutre, vous me
suivez ? C’est-à-dire, qu’il s’agit d’une parenthèse qui équivaudrait à un
truc du genre « votre haine m’a rendu plus fort » ou autre connerie
du style, bien que dans le fond, et vous le savez, j’en ai rien à foutre, et
bien que dans le fond, et je le sais, vous êtes amoureux de moi.
Ouais
mais,
Ça veut
dire quoi ça ?
Ils
riment même pas
ses
poèmes à la con
Ils
auraient quand même
Pu être
mieux, les poèmes
Moi, je
pense pas
Enfin
peut-être que si
Mais
c’est rien
M’allez,
ça défile trop vite
Les
poèmes de Brad Bitch
J’arrive
pas à lire !
Mais
donne pas ton opinion
On
comprendrait pas
PPPif
de PPPass’ !
Diatribes
et dithyrambes
Vive
Bradovski !
Diatribes
et dithyrambes
Vive
Bradovsking !
Malédiction goût chocolat
T’as
un beau ptit cul
Et
un regard méprisant
Pourtant
tu n’as que 17 ans
Ah
si tu savais
Comme
ta vie changerait
Après
une nuit avec
Vicious
Sehie, Savage Porco
Et
Kazy Smoos, on jouerait
A
‘string maudit’,
Et
hop, à la poubelle,
Ta
pseudo-fierté !
Brad
Bouche, c’est ce que tu manges
Brad
Byche, c’est lui qui te mange
Par
les deux bouts
Mwaaaaaaaaaa
Caleçon
plein de larves et autres sécrétions enchevêtrées
Ténia
glouton et immortel dans les entrailles emmêlé
Casquette
et dégaine d’adolescent
Pustules
à des endroits très gênants
Regard
béat et analyses dures à suivre
Encore
plus d’ailleurs quand tu es ivre
Une
voiture qui sert pas à grand chose
Vu
que la prendre sous alcool tu n’oses
Sans
oublier que ramener les copains est une tare
Pour
toi capitaine aux concepts bizarres
Capitaine,
mon capitaine, tu n’es pas
Capitaine
tu n’es toujours pas
Capitaine,
non, non, tu n’es vraiment pas
Et
quand t’as bu, putain tu l’es encore moins
(est-ce
possible ? ? ?)
Mais
capitaine, même si tu n’es pas
Tu
es quand même quelque chose,
(oh
oui, crois-moi)
Pas
un risée, Timéon Psycho, ce texte est
A
prendre comme un hommage à ton schmitisme
Capitaine
sous l’étendard ‘Fourmois !’
Mène
à bon port le galion du PFK,
Bien
à toi, capitaine, mon capitaine,
Tseuh
heu heu
Bon si vous êtes allés jusqu’au bout,
l’aventure s’arrête ici , peut-être vous demandez vous encore ce qu’est un
fidjer (voir plus haut) et bien, c’est simple, c’est comme dans Street, Quantum
ou Virtua, mais prononcé différemment, mais de toutes façons, ça n’a
d’influence sur rien, sauf sur la connerie, que je n’ai pas fini de marquer de
mon empreinte (en pied de menhir)
Ciao
P.S : Et dans ces parts textuelles,
les ‘ sont en fait des apostrophes, si vous n’aviez pas pigé