« Ouais, mais ça va, ça
va »
L’ivresse
La joie
...La Chute.
Oui je le dis, mais... Car il y a
toujours un ‘mais’, je vous préciserai ceci, ceci étant cela d’ailleurs, de par
cela qui donc est ceci, qu’est-ce, qu’est-ce donc ? C’est : la Chute.
Séraphin aux ailes brisés, par la
poule aux oeufs d’or alleché
Donne, donne et vogue
Dans la tempête, la tempête du
naufragé,
Le sauveur et la discorde face à
face,
Pomme maudite, du fin fond du
navire,
Mousaillon, ne fuis pas, ne fuis
pas ! ...Tombes !
C’est bien de cela qu’il s’agit,
non pas de sarcophages, mais de... la Chute.
Dans ce tôme si tôt y est
l’esquive, fais dors ; observe et malmène mon âme déjà torturée qui se
démène et du haut des cieux, du plafond de l’esprit, elle s’évapore puis
s’écroule, c’est : la Chute.
En bas du haut
De haut en bas
De là-haut à ici-bas ;
C’est : la Chute.
J2P-C, 19.09.02, 00h30